Jour 24: Kowloon, Symphony of Lights & fête foraine

Aujourd’hui, nous nous sommes rendus de l’autre côté de la baie (encore un prétexte pour prendre le Star Ferry; on adore!), à Kowloon, la partie de Hong Kong qui est rattachée au continent. On avait pour objectifs:
– réserver le bateau Watertours pour le soir (ou l’après-midi): fait!
– visiter le Hong Kong Arts Museum: pas fait (la section art contemporain était fermée)!
– visiter le Chungking Mansions, un vieux centre commercial où se côtoient 120 nationalités différentes: (vite) fait!

Après nous être goinfrés, nous rentrons nous rafraichir à l’hôtel, faire un Rummikub au lounge, puis nous repartons vers le port pour embarquer pour notre « croisière Symphony of lights » (ou « voir le son & lumières sur l’eau »). On a adoré attendre le bateau, voir le soleil se coucher sur la skyline puis embarquer: un excellent moment (on se demande d’ailleurs pourquoi on a attendu la 4ème visite pour faire cela).

Après le débarquement, attirés par la lumière et le la musique, nous pénétrons dans la fête foraine au pied de la grande roue. L’ambiance y est très « bon enfant »; c’est super agréable!

Il est déjà 10:30pm; on rentre à pied à l’hôtel, en empruntant les passerelles qui enjambent les routes et passent à travers les immeubles.

C’était une excellente journée, à tous points de vue!

5 réflexions sur « Jour 24: Kowloon, Symphony of Lights & fête foraine »

  1. [quote= »Ben »]nous pénétrons dans la fête foraine au pied de la grande roue[/quote]
    Ah! On s’y croirait. On sentirait même les smoutebollen.

  2. « C’était une excellente journée, à tous points de vue !  »

    Je pourrais m’en réjouir avec Ben et Marie, les féliciter pour leurs récits si intéressants, leurs photos si belles (il doit avoir un sacré bon appareil, le Ben) et si bien cadrées qu’elles font le bonheur de MAI et le mien. Mais non, les mots ne viennent pas, l’inspiration manque, aucune idée de commentaire un tant soit peu décalé. Non. Rien !

    Je pourrais leur expliquer ce qu’est la peur de la page blanche, leur dire à quel point l’écriture me demande tant d’efforts, leur avouer humblement le temps indispensable trouvé seulement la nuit, en période d’insomnie, quand il s’agit d’occuper l’esprit plutôt que le corps. Mais ils n’en n’ont rien à f….. de mes états d’âme, eux qui chaque jour vivent des expériences si passionnantes que nul être normalement constitué ne penserait imaginer.

    Je pourrais aussi me plaindre de la différence de traitement entre MAI (dont le texte est publié immédiatement) et Jojo-Jcf (qui doit attendre l’autorisation du propriétaire du blog pour être publié, selon une formule qui apparaît chaque fois qu’il clique sur « Laisser un commentaire »). M’indigner même de cette discrimination entre un « actif » qui a la priorité et un « pensionné » qui peut patienter puisqu’il en a le temps. Me moquer du désordre ainsi engendré où un lecteur pourtant averti (genre DUF) y perdrait son latin, puisque mon dernier texte répond à celui de MAI qui vient pourtant après ! Mais nous savons bien qu’il n’y a là aucune malice, simplement une de ces facéties de l’informatique (qui en recèle tant) qu’il serait même inconvenant de mettre au jour pour demander une mise à jour.

    Je pourrais encore leur raconter que, demain, je pars passer la journée à la mer (sur la Côte belge transformée en un temps malheureux en Vlaamse Kust). Certes, elle n’a rien de comparable avec la côte bretonne tant adulée mais son odeur si caractéristique me rappelle ces colonies de ma tendre jeunesse organisées par la mutualité Caritas, si célèbres pour leurs concours de châteaux-forts à marée montante sur la plage et qui m’ont laissé un souvenir indélébile bien encré (à préférer à « ancré », pour faire le lien avec le mot précédent) dans ma mémoire. Mais quel intérêt pour eux qui traversent des villes ultra-modernes, contemplent des paysages paradisiaques ou respirent l’air odoriférant exhalé par les bâtons d’encens ou les cerisiers du Japon en fleur ?

    Je pourrais me réjouir à l’avance des réponses de Ben, du genre : « Oh, Jojo-Jcf, j’espère que tu t’es bien reposé à la mer car tu en avais grand besoin » ou encore « Tu sais, Jojo-Jcf, la nuit, tu peux aussi occuper le corps. Veux-tu qu’on t’explique ? ». Est-ce utile d’espérer tant d’attentions quand, après une journée si harassante, le pauvre Ben risque aussi d’être à cours d’inspiration ?

    Au fond, quand on a rien à dire, il vaut mieux ne pas faire de commentaire.

    C’est évident !

    1. [quote= » Jojo-Jcf »]Je pourrais m’en réjouir avec Ben et Marie, les féliciter pour leurs récits si intéressants, leurs photos si belles (il doit avoir un sacré bon appareil, le Ben) et si bien cadrées qu’elles font le bonheur de MAI et le mien. Mais non, les mots ne viennent pas, l’inspiration manque, aucune idée de commentaire un tant soit peu décalé. Non. Rien !

      Je pourrais leur expliquer ce qu’est la peur de la page blanche, leur dire à quel point l’écriture me demande tant d’efforts, leur avouer humblement le temps indispensable trouvé seulement la nuit, en période d’insomnie, quand il s’agit d’occuper l’esprit plutôt que le corps. Mais ils n’en n’ont rien à f….. de mes états d’âme, eux qui chaque jour vivent des expériences si passionnantes que nul être normalement constitué ne penserait imaginer.

      Je pourrais aussi me plaindre de la différence de traitement entre MAI (dont le texte est publié immédiatement) et Jojo-Jcf (qui doit attendre l’autorisation du propriétaire du blog pour être publié, selon une formule qui apparaît chaque fois qu’il clique sur « Laisser un commentaire »). M’indigner même de cette discrimination entre un « actif » qui a la priorité et un « pensionné » qui peut patienter puisqu’il en a le temps. Me moquer du désordre ainsi engendré où un lecteur pourtant averti (genre DUF) y perdrait son latin, puisque mon dernier texte répond à celui de MAI qui vient pourtant après ! Mais nous savons bien qu’il n’y a là aucune malice, simplement une de ces facéties de l’informatique (qui en recèle tant) qu’il serait même inconvenant de mettre au jour pour demander une mise à jour.

      Je pourrais encore leur raconter que, demain, je pars passer la journée à la mer (sur la Côte belge transformée en un temps malheureux en Vlaamse Kust). Certes, elle n’a rien de comparable avec la côte bretonne tant adulée mais son odeur si caractéristique me rappelle ces colonies de ma tendre jeunesse organisées par la mutualité Caritas, si célèbres pour leurs concours de châteaux-forts à marée montante sur la plage et qui m’ont laissé un souvenir indélébile bien encré (à préférer à « ancré », pour faire le lien avec le mot précédent) dans ma mémoire. Mais quel intérêt pour eux qui traversent des villes ultra-modernes, contemplent des paysages paradisiaques ou respirent l’air odoriférant exhalé par les bâtons d’encens ou les cerisiers du Japon en fleur ?

      Je pourrais me réjouir à l’avance des réponses de Ben, du genre : « Oh, Jojo-Jcf, j’espère que tu t’es bien reposé à la mer car tu en avais grand besoin » ou encore « Tu sais, Jojo-Jcf, la nuit, tu peux aussi occuper le corps. Veux-tu qu’on t’explique ? ». Est-ce utile d’espérer tant d’attentions quand, après une journée si harassante, le pauvre Ben risque aussi d’être à cours d’inspiration ?

      Au fond, quand on a rien à dire, il vaut mieux ne pas faire de commentaire.

      C’est évident ![/quote]
      Oui da.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *