
Day 1: PCH, Santa Barbara, PCH, LAX :-/
Ce matin, il faisait très brumeux… Les prévisions météo était très optimistes quant à l’arrivée du soleil en milieu de journée, cela nous a décidés à aller (enfin) visiter Santa Barbara, que nous avions manquée lors de notre précédent passage. De plus, Teresa nous en a vanté les mérites entretemps 🙂
Arrivés sous un ciel fermé par la PCH (Pacific Coast Highway ou la State 1), nous en sommes repartis sous un ciel effectivement (partiellement) ensoleillé. Nous nous sommes promenés sur la jetée puis en ville. Santa Barbara est effectivement une petite ville bien sympa mais exclusivement dédiée au tourisme; on n’ose pas imaginer la foule en été! Il y a même un petit musée d’art contemporain (petit parce qu’il est composé de… deux salles 😀 )
Nous en repartons après avoir mangé… japonais 🙂 par la PCH mais, cette fois-ci, du bon côté de la route: on peut s’arrêter au bord de l’eau sans risquer de faire demi-tour sur cette grosse route… On a donc l’occasion d’assister à des scènes typiquement californiennes (si ce n’est que le soleil est fort timide)
On s’arrête une nouvelle fois sur la plage de Malibu devant les maisons à front de mer. J’ai l’espoir d’à nouveau entendre le bruit / le son que je préfère sur terre: le sac et le ressac dans les galets sur la plage… pas de chance, la mer n’est pas encore assez haute; il va falloir revenir 😀
On termine la journée par la résolution d’une légère contrariété: la prise d’allume-cigare de notre auto ne fonctionnait pas (on s’en est rendu compte quand le gps -batterie plate- a cessé de fonctionner à 11:00 du matin, sur le chemin vers Santa Barbara), ce qui est plutôt embarrassant; on s’est donc rendu dans une agence Avis qui nous a invités à aller échanger notre véhicule à l’agence où nous l’avions pris en charge soit à LAX. Ce petit détour de presque deux heures et demie une fois accompli, nous roulons à présent dans une (grosse) Ford Fusion hybride (on a mis un peu de temps à comprendre comment la faire démarrer)…
On rentre à l’hôtel passablement fatigués (le décalage horaire se fait encore un peu sentir) et on va (bien) manger dans un « village »de magasins, chez Tender Greens.