Nous avons eu un bon vol (parti avec une heure de retard à cause d’une panne au niveau des convoyeurs automatiques de bagages à CDG). Nous sommes arrivés vers 17:00 à Toronto. Le passage à la douane fut long et l’interrogatoire pas trop poussé mais quand même: « Que venez-vous faire au Canada?« , « Du tourisme?« , « Où allez-vous?« , « Comptez-vous rencontrer quelqu’un?« , « Après, où allez-vous?« … Nous avons ensuite pris possession de notre (gros) véhicule pour les 12 prochains jours: j’ai payé pouret on a reçu
Beaucoup trop grand! [Et, anecdote, à notre arrivée à l’hôtel du soir, on a mis du temps à comprendre comment fermer le coffre: si on a assez vite pigé qu’il suffit d’appuyer sur la télécommande pour verrouiller les portes de l’auto, on a du s’y reprendre à plusieurs fois pour que ce fuc**ng coffre se ferme. Il faut en fait s’éloigner de la voiture pour que celui-ci se verrouille à son tour: la voiture repère la clé qui est dans ma poche et déverrouille à mon approche (ou reste verrouillé tant que je suis à proximité). Je peux vous dire que j’ai pesté 😀 ]
Une bonne heure de route plus tard (ils roulent vraiment bizarrement ici: toutes les bandes roulent à des vitesses différentes mais pas de droite à gauche, comme chez nous; on dépasse tantôt à droite, tantôt à gauche. C’est assez déstabilisant! Et même si la limitation de vitesse est de 100km/h [non, on ne compte pas en miles ici], tout le monde roule plus vite… ISFCC!), on arrive à Niagara Falls… On dépose les valises et on se dirige vers les chutes: c’est impressionnant! mais moins qu’on imaginait. Le bruit, bien que fort présent n’est pas assourdissant même juste à côté. Par contre la « vapeur » qui se dégage est très… mouillante; on est rentré trempé! On a pris notre repas dans le resto qui fait face aux chutes: sympa 🙂
On rentre vers 22:00 à l’hôtel et on tombe de sommeil (pour nos petits corps, il est quand même 4:00 du mat’).
Petits « conseils » si vous souhaitez venir voir les chutes du Niagara: d’après nous, pas besoin de prévoir un logement sur place: une fois les photos faites, il n’y a rien d’autre que quelques attractions un peu bidon et des casinos. Une excursion d’un jour àpd Toronto peut faire l’affaire. Privilégier le côté canadien: on voit toutes les chutes de face (du côté US, on ne peut pas voir la chute US et on ne doit voir le « horseshoe » [fer à cheval] que de côté).
Les vacances commencent vraiment 🙂
Bienvenue sur le continent, voisins
😉
Content de vous savoir partis (et bien arrivés). Devant mon mur, je commençais à trouver le temps long et à avoir mal aux jambes.
Jambes que tu as fort belles, dois-je le rappeler?
Ah, c’est malin: commencer une histoire par la chute…
[quote= »Ben »]Par contre la « vapeur » qui se dégage[/quote]
L’auteur de ce blog semble avoir eu de bien mauvais cours de physique, dans sa jeunesse.
Bien que les guillemets semblent vouloir montrer l’usage de la licence poétique par l’auteur, la licence scientifique, plus rigoureuse, quant à elle impose de critiquer l’emploi maladroit du terme « vapeur ».
Les vapeurs d’une substances sont formées de cette substance à l’état gazeux. C’est pourtant pas sorcier.
De mon temps, on était mieux formés.
Bon, interro surprise à la rentrée.
Ce serait donc des embruns ?
Je trouve qu’il y a plutôt une dominante bleue dans la lumière à cet endroit.
Vous semblez un peu déçus par les chutes du Niagara. Normal, c’est quand même pas la Cascade de Coo !
J’avais imaginé vous dire que le récit de Benoît, pour intéressant qu’il soit, manquait d’une chute mais c’est raté : MAI est déjà passé par là.