Jour 9: Québec et Saint-Antoine de Tilly

Ce vendredi, nous commençons la journée un peu plus tard qu’hier; Megan souffre du décalage horaire (2h quand même!) et est très fatiguée 😀 Après un passage (obligatoire) chez Starbucks pour son café matinal, nous rejoignons l’embarcadère de la « croisière » sur le Saint-Laurent. Avant d’aborder, nous passons les quelques minutes disponibles à découvrir la place Royale, dans la ville basse. Nous montons à bord et profitons du paysage depuis le fleuve. Nous naviguons ainsi jusqu’à l’ile d’Orléans (qui a vu les premiers colons français s’installer) et jusqu’à la chute Montmorency.

En débarquant, nous reprenons la voiture pour aller nous sustenter chez « la Buche« . Perso, je prendrai une petite poutine… pas dégueu. Et, c’était donc vrai: le fromage de la poutine « chouine » sur les dents; c’est surprenant! Il a de nouveau plu à siaux pendant qu’on mangeait.

En sortant, nous mettons le cap sur un village censé nous offrir des paysages bucoliques et inénarrables… c’était sans compter sur la météo capricieuse. Quand nous entrons dans Saint-Antoine de Tilly, il drache. On fait le tour du village au ralenti (heureusement que personne ne nous a vu; il/elle aurait appelé la police, tellement c’était bizarre). Mais la pluie s’est ensuite calmée. Marie et Megan ont visité l’église dans laquelle un guide bénévole les attendait de pied ferme; il les a gardées pendant un temps certain et leur a décrit « son » église avec énooooooormément d’enthousiasme. Ce n’est que l’arrivée d’une autre visiteuse qui les a extirpées des griffes de ce gentil (mais collant) hôte/guide. En sortant de l’église, la pluie s’est calmée et le ciel se dégage; on se rend ensemble au « magasin général »:

On rentre ensuite vers Québec à la découverte du plus grand centre commercial de la ville. On trouve les magasins recherchés par mes deux blondes; elles ne trouvent rien dans le premier et Marie achète un truc chez Lululemon.

On rentre ensuite à l’hôtel; je commence le blog; je regarde les nouvelles à propos de « l’attentat » de Nice et du coup d’état en Turquie; on va manger chez Archibald (voir jour 6); on rentre; je termine le blog et on met le jambon dans le torchon (et ça c’est pas québécois, comme expression!)