Aujourd’hui, nous nous sommes « promenés »… à l’américaine… càd en voiture. J’ai réglé le GPS sur « éviter les autoroutes » et on s’est laissé conduire jusqu’à Bath, à une septantaine de kilomètres de notre point de chute. La balade fut très agréable; pas très photogénique mais elle nous a permis de prendre la température du lieu (entre 25 et 29°C, aujourd’hui; merci de demander). Sur le chemin, on a quand même trouvé un magasin de tissus pour Marie. Et,à l’arrivée, nous nous sommes rassasiés de plats à base de homard (on est dans le Maine, oui ou f**k?!): ‘lobster roll’ (mais pas un modèle de tojole, pour Marie) et ‘tortellini 3 couleurs au homard’, pour moi.
Nous retournons ensuite sur nos pas et nous arrêtons à Freeport. Cette petite ville a une caractéristique particulière: elle a deux visages! Un premier que l’on découvre le long de la rue principale: on croirait traverser une petite ville américaine « normale » mais non… ce ne sont que des magasins outlet, les uns à côté des autres dans ce qui ressemble à des maisons. Et, au bord de l’eau, un petit port de plaisance, départ de ‘cruises’ pour observer les baleines ou les iles environnantes.
La route se poursuit enfin en direction de Portland, qui nous semble une petite ville sympathique mais sans attrait particulier si ce n’est sa baie, Casco bay.
Bref, une journée tranquille, à la « découverte » des environs et parsemée d’un (tout petit) peu de shopping (une chemise noire pour moi et une robe pour Marie).
Le soir, on remange à la Sebago Brewing Company; on a à nouveau super bien mangé.
A propos de homard, n’y aurait pas une coquille*?
« super ben mangé »
A moins que le pire soit arrivé? Ce qu’à Dieu ne plaise.
Quoi qu’il en soie (spéciale dédicace à Marie), A Very Merry Unbirthday to You.
* oui, d’accord, le homard ne vit pas dans une coquille, mais passez-moi un autre jeu de mots, alors.
Ben vu, ‘mai’ 😉
Damned, je suis reconnu malgré mon pseudo!
Oups!
Corrigé…
« une chemise noire pour moi et une robe pour Marie »
Et pourquoi pas l’inverse? Vous ne trouvez pas que ça fait un peu cliché Côme ça ?
On imagine qu’il ne faut voir aucune allusion politico-historique fâcheuse relativement à la couleur de ladite chemise. Rassurez-nous.
Ne serait-il pas souhaitable, pour éviter route ambiguïté, de l’échanger pour le même modèle, mais en rose?
En outlet, pas d’échange possible…
Ooooooh, zut alors 🙂
Quand on rentre dans un resto du Maine, on dit: « Homards, j’arrive ! »
PS @mai: tu as raison, on ne sent pas très bien après.
Je viens de comprendre… Il m’a fallu le répéter 5 ou 6 fois, quand même :-/
« Le homard, il ne faut pas en faire un complexe. »
Françoise D.