Le 30 juillet, nous trainons à la piscine de l’hôtel le matin. Je m’étais en effet mis un rappel pour moi-même dans le blog de 2015: pour les photos de Bouddha, c’est mieux l’après-midi, pour éviter le contre-jour.

L’après-midi, après un repas tardif, fut donc consacrée à la remise de nos respects à Tian Tian Bouddha. Nous nous y sommes rendus, par plus de 38°C, en téléphérique (dont j’avais acheté les tickets à l’avance, comme conseillé par moi-même en 2015 ). Nous avons (malgré nous) expérimenté la cabine Crystal et son fond en verre: impressionnant!

Vu du ‘cable car’, notre hôtel (le carré vert en plein milieu de la photo) semble tout petit…

Une démo de percussions

Gus, il voit des biches à 2400m d’altitude; moi je vois des vaches

Par 38+°C, c’est encore plus haut de d’habitude :-/

Le fond de verre de la ‘crystal cabin’

Nous convenons avec l’hôtel de pouvoir conserver notre chambre jusqu’à 20:00. Nous retournons à la piscine. Et démarrons effectivement à 20:00. Nous rejoignons l’aéroport avec la navette de l’hôtel, bien pratique.

Suite à l’upgrade en Premium Economy acheté un peu plus tôt, nous avons effectivment profité de nombreuses mais légères améliorations par rapport à un trajet en Economy: em/dé-barquement prioritaire, plus de bagages en cabine (jusqu’à 18kg) et en soute (jusqu’à 46kg), plus de place pour les jambes et les pieds (par contre, siège à peine plus large), repas amélioré par rapport à l’éco (on a eu une entrée avec des noix de saint Jacques mais toujours des couverts en plastique), livraison des bagages prioritaire et aussi beaucoup plus de miles crédité (100% au lieu de 25 habituellement); tout ça, c’est très sympa mais ça ne vaut à mon sens pas de payer le double d’un ticket éco. Ce qui achève ce jugement péremptoire, c’est le confort du siège: engoncé dans une coque, le siège « glisse » vers l’avant en s’inclinant (très) légèrement, donnant l(a fausse) impression de confort! Vous l’aurez compris, ce siège est loin de m’avoir convaincu et procuré le confort supplémentaire espéré/convoité/rêvé*. Bref, c’est mieux… mais je ne suis pas (encore) prêt à payer le double du prix pour « si peu »…

*ne rien biffer