Jour 17: Sorrento

Après une journée de conduite assez intensive (hier), nous nous sommes accordé une journée de répit au bord de la piscina de l’albergio. Ce n’est pas faute d’avoir essayé de nous rendre à Positano (un village voisin qui a été recommandé à Marie par, Virginie B., une de ses anciennes collègues) en ferry… mais celui de 08:35 (le seul du matin) avait déjà quitté le port depuis un moment quand nous nous sommes présentés au guichet. Et les bus, pareil! remplis à ras bord…

Après avoir sué 2 litres avant d’arriver au port et transpiré 3 autres litres pour remonter jusqu’à la gare de Sorrento (on a été se renseigner pour le Circumvesuvia, pour demain), nous sommes donc rentrés à l’hôtel pour paresser au bord de l’eau bleue de la piscine.

Nous avons décidé d’aller prendre notre repas du soir chez Da Vincenzo, à Positano

[EDIT] Pour une fois, on a fait ce qu’on s’était dit… On a été à Positano! Pas en droite ligne car notre GPS connait vraisemblablement des chemins « à la Pirlouit » :-/ C’est une petite ville à flanc de falaise qui a du être très pittoresque, un jour… mais aujourd’hui c’est pareil aux Baux de Provence ou à Durbuy un jour de la fête du livre (dédicace à Ève). Ceci dit, le resto trouvé grâce à Tripadvisor était délicieux (on a *encore* *beaucoup* *trop* mangé, hein!).

3 réflexions sur « Jour 17: Sorrento »

  1. Que d’émotions, que d’émotions…
    Pour une fois, je peux dire… j’y étais. Mais je devais avoir quelque chose comme 13 ou 14 ans, tout au plus. C’était donc environ… l’an passé.
    Mais je reconnais encore la place jusqu’à laquelle nous nous aventurions parfois
    http://buchau.be/sicile2013/wp-content/uploads/2013/07/DSC05409.jpg
    et que nous appelions la « Place Sifflets et Trompettes », relativement à la dense et bruyante circulation automobile et aux tentatives désespérées de régulation par quelques carabiniers époumonés.
    Et aussi la plage de sable noir (quel étonnement c’était! Noir, non mais allô quoi!)
    http://buchau.be/sicile2013/wp-content/uploads/2013/07/DSC05437.jpg
    dans l’eau de laquelle j’ai tenté quelques brasses.
    Tiens, même les effluves de poissonnerie qui régnaient partout dans la ville me remontent aux narines. Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite etc…

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