Aujourd’hui, on écrit l’article à 4 mains.

M: Ce matin, très tôt, Benoît se réveille et téléphone à la banque pour régler le problème de nos cartes de crédit. Ouf que, ça c’est fait.          

Après un bon petit-déjeuner amélioré,

B: on quitte Sacramento pour rejoindre San Francisco. Mais je me suis rendu compte hier soir qu’on avait manqué une étape rigolote, durant notre trajet précédent. On rebrousse donc chemin afin de faire la visite manquée, du côté de Stockton. 

Je vous avais dit qu’on avait hésité à retourner en Asie?

M : L’entrée du temple ne paie pas de mine. Si on ne savait pas qu’un Bouddha couché nous attend, on aurait peut-être fait demi-tour. On voit d’abord des vieux brols, un espèce de terrain vague et un chemin caillouteux que l’on emprunte. On ne voit pas âme qui vive, sauf quelques voitures garées. On fait de même avec la nôtre. Et là, on marche de découvertes en découvertes. Ce temple semble super bien entretenu. On se rend d’ailleurs compte en partant que toutes les personnes présentes sur le site sont en train d’entretenir l’entrée principale du temple.

Ensuite, on reprend la route pour une petite escale à Vallejo, lieu du tournage de la série « 13 raisons« .

Ensuite, on roule vers San Francisco et on se gare à côté du fameux resto de pizzas Tony’s. Il nous avait été conseillé par notre amie Joëlle il y a quelques années. Nous l’avions découvert lors de notre précédente visite de la ville. A l’époque, nous avions dû attendre 2 heures pour obtenir une table et nous avions été comblés. C’était clairement les meilleurs pizzas que nous ayons dégustées. Aujourd’hui, nous avons eu de la place tout de suite et les pizzas étaient délicieuses même si elles n’étaient pas aussi succulentes que dans notre souvenir. Quoi qu’il en soit, on recommande ! Le service est excellent et le rapport qualité-prix est très bon.

On s’installe à l’hôtel puis on se balade aux alentours. On profite du spectacle du CableCar et sa cloche caractéristique. On va chercher une tasse pour Thierry au Starbucks et du muesli pour moi (oui, mon petit-déjeuner, c’est sacré).

On se prend un petit plat japonais à emporter et partager et on se pose.